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C'est officiel, les Chroniques ne sont plus un phare mais un bateau échoué servant de phare, nuance.

      Et tout le monde se fatigue à les décrire comme une bibliothèque, allez comprendre ces chroniqueurs. Quoi qu'il en soit, juillet commence comme prévu pile quand juin se finit, dans cette organisation impeccable les nouvelles sont plus ou moins celles auxquelles on pouvait s'attendre : rien à signaler. Les gens passent et repassent et ça s'active et ça écrit peu, et c'est normal parce que c'est les vacances ! Pour ceux qui y ont droit, les autres pleurent mais peu importe car juillet commence de bonne humeur !

      Car on aurait cru qu'il n'y aurait pas de texte, ce mois-ci, et voilà la surprise qui vous rattrape et vous démonte, il y en a ! C'est inexplicable, c'est déroutant et pourtant, même si les noms sont les mêmes le renouveau est là, toujours plus d'histoires et toujours plus de chroniques pour la foule des gens discrets qui permettent à ce lieu coupé de tout de râler qu'on les dérange.

      Mais comme on pourrait accuser cet éditorial de remplissage, voici les textes :

      Renart et Roënel : Le renard a choisi la facilité de ressortir un vieux texte, et euh... mais pourquoi on en parle encore ? La suite.

     Fragments d'Apocalypse - Le garçon de la plage : Un fragment à découvrir, un souvenir dans le monde de l'Apocalypse et une réussite de Petch en devenir, bref, à lire !

      Et ça recommence ! : Un seul mot : Zaleth. Et si vous êtes comme le renard, à ronronner comme un chat, alors préparez-vous à l'impossible car le comte n'a qu'un objectif, vous faire rire !

      Un peu de sérieux cependant. Si à court terme tout est pour le mieux - un petit incident avec le feuilleton, mais c'est corrigé - et qu'en septembre nous aurons peut-être droit à une saga hebdomadaire de Mr.Petch (!), les Chroniques sont aussi une machinerie technique, dans les coulisses, et il faudra s'assurer à terme que les compteurs restent au vert. Comme quoi on trouvera toujours une raison de s'affoler, et le remède à cela est connu de tous temps...

Chroniqueurs, à vos plumes !

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